Sainte-Marie Mère de Dieu

Sous le manteau de Notre-Dame - Chronique #19 - Conrad B Piché

Publié : May-28-2025

Se nourrir l’âme en moins de 250 mots !

Paroisse Assomption de Notre-Dame

Chronique 19

6ième Semaine de Pâques, année de notre Seigneur 2025

Pourquoi l’Église défend-elle la vie humaine de la conception à la fin ?

Chèrs Frères et Sœurs en Jésus Christ,

L’Église catholique défend la vie humaine de la conception à la mort naturelle, car elle enseigne que chaque être humain est créé à l’image de Dieu (cf. Gen 1, 27) et possède une dignité inaliénable (cf. CEC, - 1700). Dès la conception, la vie d’un être humain innocent est considérée comme sacrée, et il doit être reconnu titulaire du droit inviolable à la vie (cf. CEC, -2270).

Cette conviction repose sur l’idée que la vie humaine forme une unité continue, ininterrompue et digne d’être protégée à chaque étape. Il n’esiste aucun moment dans ce développement où la valeur de la vie serait moindre.  Ce respect s’étend jusqu’à la mort naturelle, car l’être humain, voulu pour lui-même par Dieu, demeure porteur d’une dignité que la maladie, le handicap ou la vieillesse ne diminuent pas (cf. CEC, -2276).

L’avortement est vu comme le meurtre délibéré d’un innocent, et l’euthanasie, comme une atteinte grave à la dignité humaine. L’Église insiste sur le respect de la vie dans toutes ses étapes, et considère que la souffrance, bien qu’éprouvante, doit être vécue avec foi, dans l’espérance chrétienne de la rédemption.

En affirmant que « la vie humaine doit être respectée et protégée de manière absolue depuis le moment de la conception «  (CEC, -2270), l’Église rappelle que toute vie est un don de Dieu, confié à notre responsabilité, à notre soin et à notre respect.

Dans la prochaine chronique, on se penchera sur le rôle du pape dans l’Église catholique.

In Maria, spes nostra,

Conrad B Piché

L’arche de Noé fut sans doute une figure de Marie ; car, si l’arche offrit un abri à tous les animaux de la terre, le manteau de Marie sert de refuge à tous les pêcheurs --- Saint Alphonse de Liguori, Les Gloires de Marie, chap. III, partie II.

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